tag:blogger.com,1999:blog-20537810.post3126367378029630618..comments2023-12-14T09:39:47.582-03:00Comments on Regards: Empires du MilieuFrancis J.http://www.blogger.com/profile/16554555719886924267noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-20477320611154405002008-12-07T11:28:00.000-02:002008-12-07T11:28:00.000-02:00Mais, attention, je ne provoque que pour la bonne ...Mais, attention, je ne provoque que pour la bonne cause !<BR/><BR/>Et l'autre, une de mes petites voix intérieures, de dire : ah bon, il y a des bonnes causes !?Francis J.https://www.blogger.com/profile/16554555719886924267noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-48660306641229326822008-12-07T11:16:00.000-02:002008-12-07T11:16:00.000-02:00Je sais, vous êtes un redoutable provocateur, je s...Je sais, vous êtes un redoutable provocateur, je suis quand même déçu d'être pratiquement le seul à le savoir ! ;-)Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-43923379778434941862008-12-07T11:03:00.000-02:002008-12-07T11:03:00.000-02:00Mon cher Patrick, me croirez-vous si je vous disai...Mon cher Patrick, me croirez-vous si je vous disais que j'ai pensé à vous en écrivant cet article ? Car, pour moi, l'Argentine c'est vous :)<BR/><BR/>Il me semble que je suis assez d'accord avec vous. Par exemple, le prétendu "win win" m'a toujours fait marré. Les méthodes brésiliennes n'ont en effet rien à envier à celles des USA. J'aime bien, d'ailleurs, quand Rafael Correa et Evo Morales ruent un peu dans les brancards :)Francis J.https://www.blogger.com/profile/16554555719886924267noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-47868196444495211782008-12-07T10:37:00.000-02:002008-12-07T10:37:00.000-02:00Ça, c’est de la belle image d’Épinal. La France co...Ça, c’est de la belle image d’Épinal. La France comme ci, la France comme ça et les Chinois.<BR/>Il faut savoir que la crise touche aussi la Chine, et qu’il est plus difficile de passer de plus de 10 % de croissance à moins de 8 % que de 2 % à un peu moins de zéro. Cela pose des problèmes dans un pays qui commence à avoir des revendications sociales de plus en plus fortes et qui va devoir reconsidérer de manière drastique les investissements prévus ces prochaines années. Il va falloir couper dans les projets, et donc couper dans les importations de biens et services. Plus facile, quand on ne veut pas perdre la face, de trouver des excuses politiques. Les excuses économiques ne seront jamais au rendez-vous. Et pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit.<BR/>D'ailleurs les voies de la diplomatie étant ce qu’elles sont, il suffit de crier sur les toits que Sarko ferait insulte à la Chine en recevant le Lama (Dalaï, Dalaï) pour obliger ce dernier à le faire. Il faut être stupide comme un militaire, qui plus est un Genéral de brigade, pour ne pas s’en apercevoir.<BR/>Et ce n’est pas fini, tout le monde sera concerné et c’est bien normal, resteront vraisemblablement en cours tous les investissements qui comportent un volet fabrication locale.<BR/>Voilà pour la Chine et la France.<BR/>Maintenant, revenons au Brésil. Le Brésil vu du Brésil c’est encore une image d’Épinal. Le trop bon Lula et le Brésil se démarquant comme puissance économique régionale et bientôt mondiale des méthodes qu’usent les États-Unis et l’Europe. Je suis franchement mort de rire. Il faudrait que Lula apprenne l’art de la guerre, je me gausse.<BR/>Les exportateurs de biens et de services brésiliens se représentent eux-mêmes par l’intermédiaire de différentes associations dans les pays latins. Ils sont puissants, redoutables, écoutés et n’ont pas, en théorie, de comptes à rendre à l’Ambassade. Un ensemble redoutable, les uns qui coupent les oignons et l’autre qui pleure (Lula).<BR/>Mon cher Francis, pour bien connaître les tenants du commerce international en Amérique latine, pour avoir travaillé avec eux, je peux vous dire que le Brésil le fait remarquablement bien et qu’il n’a rien à envier aux méthodes de Bush ou de Clinton. Vous savez, par ici, l’empire, ce n’est pas les États-Unis, c’est le Brésil. Grand bien lui fasse, mais ne nous voilons pas la face.Anonymousnoreply@blogger.com