tag:blogger.com,1999:blog-20537810.post4601412710340165091..comments2023-12-14T09:39:47.582-03:00Comments on Regards: Les Haïtiens font du Brésil leur nouveau pays de cocagneFrancis J.http://www.blogger.com/profile/16554555719886924267noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-83908147652987332312012-01-27T23:51:08.419-02:002012-01-27T23:51:08.419-02:00Super ton blog, je vais bientôt le parcourir plus ...Super ton blog, je vais bientôt le parcourir plus en profondeur...JMS*http://photoblog.jeanmadis.orgnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-67540207529258936202012-01-16T10:04:36.258-02:002012-01-16T10:04:36.258-02:00Benjamin, comme il est dit dans le billet, le Brés...Benjamin, comme il est dit dans le billet, le Brésil limitera désormais à 100 par mois le nombre de visas accordés aux Haïtiens, des visas exceptionnels qui leur donneront le droit de séjourner 5 ans, à charge pour les bénéficiaires de trouver du travail et un logement dans ce délai.<br /><br />Benjamin, vos espoirs d'installation au Brésil ne se sont pas "évaporés", il vous reste la possibilité de marier une Brésilienne ;-)Francis Jhttps://www.blogger.com/profile/10386438474826489915noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-15977970093868976672012-01-15T11:27:41.860-02:002012-01-15T11:27:41.860-02:00Mais j'ai lu que le Brésil commençait à y mett...Mais j'ai lu que le Brésil commençait à y mettre le holà.<br /><br />Je ne pense pas qu'on manque de maind'oeuvre non qualifiée au Brésil, c'est plutôt le contraire...<br /><br />Et quand on voit, à côté de cela, les considérables restrictions apportées à l'immigration habituelle** que ce soit celle des retraités soumis depuis peu à des conditions de ressources bien plus strictes, aux expat's qui ont des frais initiaux considérables, au resserrement des formalités administratives surtout pour ceux qui sollicitent un visa investisseur, on peut s'interroger sans pour autant jalouser les Haïtiens: tant mieux pour eux s'ils parviennent à faire leur trou au Brésil ou ailleurs, en regrettant que leur "élite" (il y a des gens richissimes à Haïti) ne se lève pas la peau en faveur de leurs compatriotes afin qu'ils ne soient pas obligés de se déraciner pour trouve rune vie "moins pire"<br /><br />** j'en fais les frais: mes espoirs d'installation au Brésil sont définitivement évaporésbenjamin borghésiohttp://borghesio.typepad.com/benjamin/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-31988101735565552622012-01-14T18:40:01.229-02:002012-01-14T18:40:01.229-02:00Qui sont ces Haïtiens qui tentent leur chance au B...Qui sont ces Haïtiens qui tentent leur chance au Brésil ?<br />Jean-Francat Carièce (31 ans) : « Je suis venu avec une valise, 50 reais dans le portefeuille et une certitude, travailler à São Paulo. On dit qu'il y a beaucoup de travail là. »<br />Don Pharisien (22 ans), ancien commentateur sportif à Port-aux-Princes et fan de football : « Le stade de la Coupe du Monde à São Paulo est déjà construit ? On dit qu'on a besoin de beaucoup de maçons, c'est vrai ? Le foot est ma grande passion. Je voudrais participer à la construction du stade et assister en 2014 aux matches du Brésil. »<br />Jeff Emisial (28 ans), ancien patron d'une petite entreprise détruite par le tremblement de terre : « Quand j'ai quitté Haïti, je ne pensais qu'à aller à São Paulo pour récupérer l'argent perdu. »<br />Désir Mondelus (44 ans), maçon : « Le Rondônia, c'est pas terrible, c'est à São Paulo qu'il y a du travail. »<br />Lordius Exenord (36 ans), professeur de français et de mathématique : « D'abord, j'ai besoin d'un travail, que ce soit à Manaus ou dans une autre grande ville. Mais ensuite, c'est à São Paulo que je veux aller. L'économie brésilienne est très robuste. »<br />Jean-Gabin Marcellin (31 ans) : « J'attends avec impatience le résultat [des tests que j'ai passés]. C'est un rêve que de pouvoir aider à construire le stade de la Coupe. »<br />Reginald Darcelin (30 ans) : « On traduit pour moi. Mais personne ne veut embaucher quelqu'un qui ne parle pas portugais, n'est-ce pas ? »<br />Margarette Pierre (26 ans) : « Je reste pour l'instant à São Paulo parce qu'il me reste de l'argent gagné à Manaus. En tout cas, ici c'est mieux qu'à Haiti. »<br /><i>Source : Folha de São Paulo.</i>Francis Jhttps://www.blogger.com/profile/10386438474826489915noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-20537810.post-29235331944277059482012-01-13T09:47:09.861-02:002012-01-13T09:47:09.861-02:00Bien que datant de la fin des années 70 (par le bi...Bien que datant de la fin des années 70 (par le biais de la Surinam airways qui avait des vols Port au Prince - Paramaribo à prix raisonnable mais une fois arrivé au Suriname, les Haïtiens n'avaient qu'un visa de transit de... 48h, il fallait vite fait passer le Maroni), la mayonnaise n'a jamais pris entre les immigrés haïtiens et la société guyanaise. <br />pourtant il y avait communauté de langue (français, créole), et de couleur (à l'époque... depuis la répartition "ethnique" de la Guyane s'est profondément modifiée)<br /><br />Il faut savoir qu'en dehors de l'élite cultivée très minoritaire et qui à mon avis choisira toujours plutôt le Québec, la plupart des haïtiens qui immigrent arrivent dans le cadre d'une implacable férule mafieuse, soumis à des gangs qui les rackettent, les familles restées au pays étant menacées en permanence. <br /><br />C'est un euphémisme que de dire que ça nuit à une bonne intégration.benjamin borghésiohttp://borghesio.typepad.com/benjamin/noreply@blogger.com