C’est le pourcentage de véhicules vendus en février au Brésil équipés de moteurs fuel-flex, qui fonctionnent indifféremment à l’alcool ou à l’essence.
Toutes motorisations confondues, c’est aussi le meilleur mois de février en terme de ventes depuis 2001, avec 121 467 immatriculations.
03 mars 2006
1 commentaire:
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Les Brésiliens ont compris bien avant d'autres pays, au 1er rang desquels figure la France, que l'indépendance énergétique était un point crucial pour les économies locales. Il faut dire que ce pays n'avait pas les moyens, jusqu'à un passé récent, d'importer en masse du pétrole. Ceci explique peut-être cela.
RépondreSupprimerPersonnellement, je ne comprends pas qu'en France nous ne fassions pas travailler nos agriculteurs sur la production de nouveaux carburants biologiques. Rien n'est fait pour favoriser les énergies "propres"... Mais tant que l'Etat Français s'enrichira en taxant à 80 % les carburants...