C’est le montant, en dollars, du prêt que vient d’accorder la Banque de Coopération Internationale du Japon, afin de stimuler la production brésilienne d’alcool et de bio-diesel. Principaux États destinataires, trois parmi les moins développés de l’Union : Tocantins, Maranhão et Piauí.
Le Japon est l’un des plus anciens acheteurs d’éthanol du Brésil. Les volumes exportés (317 millions de litres en 2005), aujourd’hui relativement modestes (2% de la production), sont appelés à connaître une forte croissance.
17 juillet 2006
5 commentaires:
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La BICJ n'a pas "accordé" de prêt, encore moins qu'une autre banque. Cette expression m'a toujours déplu, un banquier n'étant qu'un marchand d'argent qui ne fait jamais de faveur.
RépondreSupprimerElle a fourni 588 millions de dollars en espérant y trouver, sur les plans financier et économique, un bénéfice substantiel. Et là elle fait un excellent investissement, indispensable même pour le Japon.
Tant mieux (accessoirement, selon le point de vue japonais) pour les états nordestins qui en ont bien besoin...
Une banque a toute liberté de refuser ou... d'accorder un prêt.
RépondreSupprimerOui, pour tout autre commerçant, ça s'appelle un refus de vente et c'est puni par la loi ^^
RépondreSupprimerLes banquiers apprécieront d'être comparés à des épiciers ;-)
RépondreSupprimerje présente mes sincères excuses aux épiciers, pour les avoir grossièrement assimilés aux banquiers. ^^
RépondreSupprimer(RdG, très fâché après son banquier)