Selon Frontex, les Brésiliens ont constitué le second groupe le plus important — 202, en une semaine — de voyageurs qui s’est vu refuser l’entrée sur le sol européen. Selon Daniela Münzbergová, attachée de presse de Frontex, il leur a été opposé le manque de ressources et l’absence de documents justifiant la finalité de leur voyage.
Comment justifie-t-on un voyage à but touristique ? Peut-être suffit-il d’emporter avec soi le guide Paris pas cher...
Amazon 2 prend fin le 9 mars. Daniela Münzbergová répond à toutes vos questions.
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Il ne fait décidément pas bon être Brésilien et vouloir voyager. Un groupe de 12 d’entre eux, plus un Hollandais vivant au Brésil, tous amateurs de plongée sous-marine, se sont vus menottés dès leur arrivée à Nassau (Bahamas), délestés de leurs dollars, puis jetés en prison où ils sont restés 20 heures sans eau et sans nourriture. Une explication leur a été, gracieusement, fournie par un des policiers qui a passé la nuit à les menacer de son arme: la détestation des Brésiliens.
Il y a un moyen efficace de se débarrasser des Brésiliens en Europe.
RépondreSupprimerImiter la police anglaise et tirer sept balles dans la tête de chaque entrant... et surtout de refuser de s'excuser a posteriori.
A par ça, le Brésil est "un pays violent"...
RdG, l'émotion vous égare. S'agissant de Jean-Charles de Menezes, c'était un accident...
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