« Nous nous positionnons parmi les prétendants, mais connaissons la difficulté de l'entreprise. Le Brésil est une nation de football. Et nous savons que si on nous la donne [l'organisation du Mondial 2014], le président brésilien Lula Da Silva pourrait terminer sur la potence chez lui. »
Le ministre des Sports vénézuélien, Eduardo Alvarez, a bien évidemment fait cette récente déclaration au quotidien sportif Lider sur le ton de la plaisanterie. Mais il est des plaisanteries qui en révèlent plus sur la véritable nature des sentiments que bien des serments d’amitié.
Rappelons que la date limite de dépôt des candidatures était le 16 avril 2007. C’est dire si l’envie d’emmerder l’ami brésilien est tenace dans l’entourage de Chávez.
17 juillet 2007
1 commentaire:
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Heureusement qu'il sera difficile de se faire la guerre sur la frontière commune...
RépondreSupprimerOn vous a vendu le Foch, vous attendez quoi pour acheter des Rafale? ^^