Cette bataille, c’était Monte Cassino. 1944. Plus de 50.000 morts du côté des Alliés. Mais il y avait peut-être bien pire. Les historiens en débattaient. Sur le terrain, aujourd’hui encore, de sales réputations continuaient de se répandre.
Leurs pères avaient combattu côte à côte. Sans doute ne s’étaient-ils jamais rencontrés. En dépit de l’océan qui les séparait, leurs enfants avaient comme réparé un oubli. Était-ce le prix à payer ? Était-ce, au contraire, la récompense des services rendus ? Était-ce le signe d’une fidélité par-delà les générations ?
Les histoires de famille, comme l’Histoire, étaient ainsi faites qu’elles laissaient affleurer les questions sans réponse.
à suivre
Qu'entendez vous par "sales réputations qui se répandent"?
RépondreSupprimerdans la geste familiale on parle beaucoup de la campagne d'Italie et des monstruosités qu'elle a entraînée, mais on en dit que tout le monde porte largement sa part de responsabilité Le comportement des alliés à Naples a été immonde, en particulier. Mais je ne crois pas que le corps d'armée brésilien soit davantage à blâmer que les autres... En tout cas les nazis en avaient très peur, pour leur avoir toujours opposé des unités d'élite.
Il n'y a effectivement pas lieu d'associer cette sale réputation au père brésilien.
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