« Défense de déposer de la musique au pied de mes vers ! », qu’il disait Victor Hugo. On ne le sait sans doute pas à Ecoporanga, et, franchement, qui s’en soucie? Il y a donc une ville qui s’appelle Ecoporanga, dans l’Espírito Santo, cela va de soi, et venu de cette ville un musicien loin d'être maladroit, Juliano Gauche, dont il a déjà été question quelque part dans ce blogue, qui a mis en musique des textes de Totor, extraits du roman Les travailleurs de la mer.
Il ne s’agit donc pas de vers, et c’en est d’autant plus extraordinaire ! Pour ceux qui voudraient écouter, il suffit de se rendre ici. Le disque se feuillette comme un livre où il est possible de lire l’Hugo traduit en portugais. De quoi me donner l'envie de me remettre à écouter de la musique en conserve...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Écrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus ;
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante "Commentaire" ;
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL ;
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien "S'abonner par e-mail", être assuré d'être avisé en cas d'une réponse ;
4) Cliquer sur Publier enfin.
Et parce que vos commentaires nous intéressent, merci de prendre la peine de nous faire part de vos opinions et de compléter ce billet par vos informations !