Obama n’est pas encore en place que l’on commence à percevoir ce que pourrait être sa politique latino-américaine : restaurer la domination des États-Unis sur la région, et ce sans la moindre imagination, mais par le recours aux vieilles méthodes.
Hillary n’est pas encore officiellement nommée qu’elle fait déjà travailler les officines autrefois au service de son mari, de sinistre mémoire. La lecture de l’article de Jim Shulz ouvrira les yeux des gogos de l’obamania.
Quant à Eric Holder, pressenti pour occuper le fauteuil de ministre de la Justice, Backchich nous en livre une facette intéressante autant que déniaisante. Dommage que Tonio ait déserté la blogosphère, ses commentaires auraient pu nous apporter là-dessus une vision in situ sans nul doute fort utile.
21 novembre 2008
3 commentaires:
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Ok, ok, Francis. Obama n´est pas le Messias, mais, attendons, quoi!
RépondreSupprimerIl (me) nous faut avoir l'esperance!
bises
Maristela, wait and see, comme disent les Étasuniens :)
RépondreSupprimera Latin American vision, from a country that has a worker president: many hopes bring along too many disappointments.
RépondreSupprimerDommage, mais vrai.
Cordialement,
Beatriz