Rentrera ? Rentrera pas ? C’est de Zelaya qu’il s’agit. L’ancien président d’un pays qui ne devrait pas exister, paraît-il. C’est vrai, ça déplacerait le problème... Pour Hugo Chávez, c’est une question d’heures. Pour les États-Unis, il en est hors de question. Petit à petit, les choses se clarifient. Petit à petit, Micheletti fait son nid.
Source : Folha de São Paulo.
17 juillet 2009
2 commentaires:
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L'isthme centro-américain, une erreur de la nature, comme disait Clemenceau...
RépondreSupprimerUn sacré brincalhão ce Clem :)
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