C’était aujourd’hui le dernier jour pour faire sa déclaration de revenus et payer l’impôt qui s’y rapporte. Non, rassurez-vous lecteurs français, cela ne vous concerne pas. Ou que de très loin, à moins que vous ne résidiez au Brésil.
Pour les salariés, l’impôt sur le revenu est prélevé à la source. Mensuellement, donc. Reste qu’il convient, en déclarant l’ensemble de ses revenus et en arguant de certaines situations (familiales, par exemple), de faire les ajustements qui s’imposent. Et de payer aussitôt.
Sur 22 millions de déclarations attendues, 21,6 sont parvenues via Internet ou par les bornes informatiques mises à disposition dans toutes les Recettes Fédérales et dans les banques. Seule une partie marginale aura fait l’objet d’un envoi postal.
Des informations plus complètes et mises à jour sont disponibles ici.
28 avril 2006
1 commentaire:
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Écrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus ;
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante "Commentaire" ;
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL ;
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien "S'abonner par e-mail", être assuré d'être avisé en cas d'une réponse ;
4) Cliquer sur Publier enfin.
Et parce que vos commentaires nous intéressent, merci de prendre la peine de nous faire part de vos opinions et de compléter ce billet par vos informations !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Au contraire il faut que les lecteurs français s'inquietent!
RépondreSupprimerLe retard pris par le sytème français dans le traitement fluide et efficient de l'impôt est disons le mot pitoyable.
le prélevement à la source fait l'objet d'un lobbying intense des instances patronales plutôt rétives.
Les lobbyistes syndicaux de Bercy crient aux loups en arguant de la réduction des effectifs liés au traitement de l'impôt.
Nos gouvernants français font semblants de croire qu'il faut que tous les Français soient equipés d'Internet pour télédéclarer via Internet.
Le lobby bancaire quant à lui ne souhaite pas pallier l'insuffisance de l'Etat en installant des bornes informatiques et en assitant "gratuitement" ses clients.
Encore une fois le Brésil montre l'exemple.