
Est-ce la peur de voir Renan déchoir de son fauteuil de président du Sénat dans les prochains jours ?
Ou est-ce le souvenir cuisant d’un gadin d’enfance ?
Le fait est que, sous le regard inquiet de Boni Yayi, Lula semble éprouver bien des difficultés à descendre l’escalier tapissé de rouge de la toute nouvelle ambassade du Bénin à Brasília.
(Photo: Fabio Rodrigues Pozzebom/Abr)
Un lumbago, ça donne ce résultat
RépondreSupprimerJ'allais le dire: un lumbago ou un excès de cachaça.
RépondreSupprimerUne angine blanche, ça fait pas pareil
S'il s'agit d'alcool, je pencherais (c'est le cas de le dire) plutôt pour le whisky, dont Lula est un grand amateur (de son propre aveu).
RépondreSupprimerMais en l'espèce je pencherais^^ moi aussi pour le lumbago.
RépondreSupprimerDSK l'aurait-il cogné pour avoir le poste au FMI? Au fait, qu'en pense-t-on au Brésil?
Personnellement, je ne crois pas trop au lumbago. Je préfère croire, c'est le cas de le dire, aux orixás.
RépondreSupprimerS'agissant de DSK, Lula a officiellement chargé Guido Mantega de définir la position du Brésil. Quant à la presse ou l'opinion publique, du moins celle qui s'intéresse un tant soit peu aux affaires internationales, il me semble qu'elles n'ont pas été bouleversées par le passage coup de vent strausskahnien. Cela a été, au mieux, l'occasion de rappeler que le Brésil souhaite, mais sans en faire des tonnes, en finir avec l'attribution automatique du poste de directeur du FMI à un Européen.