Massimo D’Alema sera l’unique homme politique européen présent à la cérémonie d’investiture du président brésilien Luiz Inácio Lula Da Silva réélu le 29 octobre 2006.
Au cours de la législature qui s’achève, la Chambre des députés a enregistré 346 changements de parti, concernant 195 élus. La championne des girouettes a changé sept fois d’étiquette politique en quatre ans.
Selon l’Anatel, régulateur brésilien des télécommunications, le nombre de téléphones mobiles actifs devrait franchir la barre des 100 millions avant la fin de cette année.
26 décembre 2006
6 commentaires:
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déjà, lors de la première entrée en fonctions de Lula, la France s'était fait représenter par le secrétaire d'état au... tourisme, Lèon Bertrand, capo UMP de la Guyane qui s'était maintes fois fait remarquer par des déclarations d'une extrême xénophobie envers les Brésiliens. Choix éminemment judicieux.
RépondreSupprimerQuelle idée aussi de faire ces prises de fonctions un 1er janvier, si longtemps après les élections! Là encore il y a continuité, mais dans le cas contraire le pays, les états ou les municipalités ne sont pas gouvernées pendant deux mois... J'ai ainsi vu Belém en total abandon pendant tout ce laps de temps.
Quelle idée, en effet. Une idée pompée chez le grand frère nord-américain, comme beaucoup d'autres idées mises en oeuvre ici.
RépondreSupprimerSauf qu'aux USA cela a une raison historique: les "grands électeurs" avaient besoin de tout ce temps pour rejoindre Washington (le scrutin n'est pas direct là bas) au temps des diligences.
RépondreSupprimerEt comme une révision constitutionnelle, aux USA, c'est rarissime...
Mais là le Brésil partait de rien, avec en plus un système de vote électronique qui donne des résultats quasiment instantanés.
Les résultats sont quasi instantanés. Mais il faut plusieurs semaines au Tribunal Supérieur Électoral pour valider les comptes de campagne, faire les remarques qui s'imposent, recueillir les réponses et finalement valider ou invalider le scrutin populaire. Ce processus n'a pris fin qu'il y a quelques jours.
RépondreSupprimerSi vous sonnez du temps et une hypertrophie de moyens à une administration, elle justifiera forcément son existence en s'inventant des tâches ou en les effectuant de façon plus minutieuse.
RépondreSupprimerOn ne m'enlèvera pas de l'idée que si on peut promulguer les résultats en une décade dans un pays comme la France (vote manuel) cela y compris quand le scrutin a été incroyablement serré (1974) il doit être possible de le faire en un mois au maximum au Brésil.
Autre chose: le manque de civisme des battus: à Belém, (exemple déjà cité, mais il y en a eu d'autres, dans d'autres sens), les fonctionnaires municipaux ont été quasiment tous en congé complet pendant deux mois, l'équipe sortante voulant laisser le foutoir à la suivante... et elle a fort bien réussi
J'ajouterai le trop grand nombre de "fonctionnaires politiques" qui sautent le jour de la passation des pouvoirs : plus de 1000 à Belém, (90 à paris, recasés ailleurs peu à peu) ce qui décapite l'état major de la ville et nuit à une transition harmonieuse.
Autre exemple de manque de civisme des battus dans l'État de Rio. Que faisait Rosinha quand la ville a connu ces derniers jours la flambée de violence que l'on sait ?
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