C’est le nombre de personnes qui sont mortes, en 2005, des suites d’un accident de la route au Brésil. La majorité d’entre elles avait entre 20 et 39 ans. Les principales causes de ces morts ne sont guère différentes de ce qui est observé sous d’autres latitudes : alcool, vitesse excessive, le non usage du casque ou de la ceinture de sécurité, la mauvaise qualité du réseau routier et des voies publiques. Au plan mondial, rappelons-le, ce sont près de 1,2 millions de vies perdues par an. Trois ou quatre fois plus de blessés.
Ni les émissions de gaz à effet de serre, ni le bilan catastrophique des accidents de la route ne paraissent être des arguments suffisants pour nous amener à revoir la stratégie de nos transports. L’homme est décidément un animal modérément raisonnable.
25 avril 2007
1 commentaire:
Pour vous aider à publier votre commentaire, voici la marche à suivre :
1) Écrivez votre texte dans le formulaire de saisie ci-dessus ;
2) Si vous avez un compte, vous pouvez vous identifier dans la liste déroulante "Commentaire" ;
Sinon, vous pouvez saisir votre nom ou pseudo par Nom/URL ;
3) Vous pouvez, en cliquant sur le lien "S'abonner par e-mail", être assuré d'être avisé en cas d'une réponse ;
4) Cliquer sur Publier enfin.
Et parce que vos commentaires nous intéressent, merci de prendre la peine de nous faire part de vos opinions et de compléter ce billet par vos informations !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Je me demande si, avec un bon réseau routier, ce ne serait pas bien pire: il n'y a guère que les trous et bosses, la poussière, la latérite, les virages appuyés, etc. qui limitent de facto la vitesse...
RépondreSupprimerQuand je pense à "certains" qui ont peur de prendre l'avion...^^