On n’a pas tous les jours l’occasion de voir des films islandais. Ou du moins réalisés par un metteur en scène islandais, ici Dagur Kári. Et encore moins de bons films islandais. Alors ne boudez pas « The Good Heart ». Cela se passe à New York City. Dans un bar, pour l’essentiel. À moins que l’essentiel ne se passe dans un hôpital public de la Big Apple. Hôpital type SUS... Un ange rencontre un patron de bar qui noie ses chagrins dans l’amertume plus que dans l’alcool. Ils sont faits pour se rencontrer. Dans tous les sens du terme, mais je n’en dirai pas plus.
Et puisque je parle cinoche, une larme, une grosse pour Maurice Garrel qui nous a accompagnés si longtemps. Adieu Maurice.
Beau temps, mais vent frisquet.
Salut Francis,
RépondreSupprimerMerci de m'avoir fait découvrir ce film sans artifices. Une histoire profondément humaine avec des personnages vrais.
Le scénario est un savant mélange de cynisme et de naïveté.
Je le recommande à mon tour.