Selon des écoutes
téléphoniques, Silvio Berlusconi aurait qualifié l’Italie de « pays de
merde ». Si l’on a l’habitude de dire que, dans les pays vaguement
démocratiques, les peuples ont le président ou le chef de gouvernement qu’ils
méritent, je me demande dans quelle mesure on ne pourrait pas dire que les
présidents ou chefs de gouvernement ont les peuples qu’ils méritent.
Que dire de la
France de Sarkozy ? Et du Brésil de Dilma ? Je n’ai bien sûr pas les
réponses !
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